Fin Mars dernier, nos membres se sont affrontés lors d'une bataille qui aurait pu avoir lieu lors de la Guerre d'Espagne en 1809.
La France Napoléonnienne
représentée par le Maréchal Massena et les Généraux Marchand,
Loison et Solignac pour l'infanterie, ainsi que Montbrun pour la
cavalerie rencontre l'Angleterre du Duc de Wellington secondé par les
généraux Alten, Picton et Cooke en infanterie accompagnés par la
cavalerie de Uxbridge.
Voici les meilleurs passages de cette journée haute en couleur : Au centre du dispositif Britannique, les Anglais de Cooke et les Écossais de Picton prennent possession des hauteurs.
Sur le flanc gauche, la cavalerie de Uxbridge entame un mouvement pour tourner la droite Française.
Côté tricolore, la Division Marchand s'apprête à faire face à la menace des
cavaliers Britanniques pendant que les Dragons de Montbrun hésitent à
quitter leur position au centre de l'armée Française.
Sur l'aile gauche Napoléonienne, Loison envisage de menacer la
droite Anglaise, alors que l'on devine au second plan les troupe de
Solignac imitant la cavalerie Française.
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5 : Les batteries légères Portugaises de Alten tiennent la colline
tandis que son infanterie adopte la fameuse double ligne de combat Britannique.
Les français attentistes, laissent l'artillerie de Wellington se positionner et l'infanterie se déployer.
Vue de Montgolfière, on
distingue les 2 dispositions traditionnelles, les Britanniques plutôt en
ligne (à gauche), et les Français plutôt en colonne (à droite).
Charge de la cavalerie Britannique sur les lignes
Françaises. Au tout premier plan : les Dragoon-Guards et les
Scots-Grey ont maille à partir avec un carré Français (carré fond jaune).
Au centre, la cavalerie
française (en haut) vient de tenter une charge repoussée avec perte et
fracas par l'artillerie combinée de 3 divisions Britanniques, lesquelles
entament une avancée derrière un écran de troupes légères.
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20: Vu de l'arrière gauche du camp Français; les différents marqueurs témoignent de l'ardeur des combats :
Vue des combat depuis la droite Britannique. Ici on peut mesurer la
progression des 2 corps d'armée adverses depuis leurs lignes de départ
respectives.
Fin de la bataille, l'aile droite Française n'existe plus. La cavalerie de ligne de Montbrun à payé
un très lourd tribut aux batteries Britanniques au centre du terrain,
les derniers engagements conduisant à sa démoralisation. Le centre
Impérial compte bien trop de pertes pour résister longtemps à la
pression de Cooke et Picton. Seule la Gauche tricolore tient encore le
terrain grâce à la prudente expectative de son Général.
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